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Avec la globalisation de l’économie, les entreprises tendent à s’affirmer à l’international, et ce, quel que soit leur secteur d’activité. Il leur faut ainsi maîtriser les échanges dont la chaîne logistique, ainsi que veiller sur la concurrence afin d’améliorer leur performance. Le but étant de répondre efficacement aux besoins des clients et fournir un service de qualité pour optimiser leur chiffre d’affaires.

Qu’est-ce que la logistique ?

Au sens large, la logistique implique le processus de coordination mis en place pour déplacer les ressources, les personnes, les marchandises et les équipements du lieu de stockage ou de production vers une destination prédéfinie. Cela requiert une grande maîtrise des différents flux d’informations, de production, ou encore de manutention. L’emballage, le stockage, la sécurité ainsi que le transport des marchandises font également partie intégrante de la logistique.

Par souci d’une efficacité optimale, beaucoup d’entreprises dédient un service entier à la logistique. En ce qui concerne les entreprises qui ne le font pas, ces dernières se fient à l’expertise des sociétés de logistique comme Isetec International. Ces sociétés développent des solutions logistiques innovantes visant à l’atteinte les objectifs de leurs commanditaires. Pour en savoir plus, cette société présente ses services via son site web.

L’importance d’une bonne chaîne de logistique

Pour toute entreprise commerciale ou industrielle, l’objectif est de produire des biens et des services et d’en tirer des bénéfices. Mais la fonction commerciale ne suffit pas pour optimiser les profits et assurer la satisfaction de la clientèle, il faut également maîtriser la logistique car c’est un véritable outil pour pouvoir se démarquer de la concurrence.

Pour évaluer la performance de la chaîne, l’entreprise s’appuie sur différents indicateurs. Par exemple, pour une bonne gestion de l’approvisionnement, il faut prendre en compte le taux de disponibilité des marchandises ainsi que les délais de livraison. La gestion du stockage requiert le suivi du stock, les éventuelles pertes de valeur ainsi que la couverture des stocks. La logistique implique aussi le transport : le taux de remplissage du moyen choisi pour transporter les marchandises, le coût moyen généré par produit.

Les impacts de la technologie sur la logistique

Avec le temps et les nombreuses innovations (appareils GPS, logiciels de suivi des expéditions, etc.), la productivité et l’efficacité de la chaîne logistique se sont décuplées, entraînant avec elles une performance nettement accrue chez les entreprises qui en font bon usage. Ajoutez-y une meilleure maîtrise du process ainsi que des coûts nettement réduits. Désormais, il est possible de retracer les marchandises 24h/24 et 7 jours/7 et de déterminer la date de livraison exacte.

De tels progrès améliorent grandement l’expérience client et, surtout, cela permet à l’entreprise de gagner du temps et in fine, d’optimiser ses profits. Il est évident que si une entreprise veut rester compétitive, elle doit miser et s’informer sur les dernières technologies.

Quoi qu’il en soit, la logistique tient un rôle important dans la vie économique d’une société puisque cette dernière ne peut subsister sans les échanges avec l’extérieur. La chaîne logistique se doit d’être fluide pour qu’une entreprise soit rentable. Il ne faut pas oublier que la fonction logistique est complémentaire avec le service commercial et avec les autres fonctions de l’entreprise. Le but étant, encore une fois, la satisfaction des clients pour une meilleure rentabilité.

Source : https://www.dynamic-business.fr/pourquoi-la-logistique-est-un-service-strategique-important/

Pour les entreprises spécialisées dans la production, la transformation ou l’industrialisation, l’un des défis majeurs est la gestion logistique. L’article suivant propose de façon sommaire quelques solutions envisageables pour une gestion logistique efficace en entreprise.

Besoins et missions logistiques des entreprises

Dans l’univers de l’entreprise, il faut entre autres assurer :

• Le stockage/déstockage des marchandises ;
• La réception de marchandise ;
• Le convoyage ou les livraisons de marchandises selon le cas.

Comment s’y prendre pour gérer ces différents flux de manière optimale ?

Le stockage/déstockage des marchandises

Qu’il s’agisse de matières premières, de produits finis ou de produits intermédiaires, les marchandises occupent une place particulière dans les actifs d’une entreprise. Leur stockage doit de ce fait répondre à une certaine logique. À cet effet, plusieurs alternatives s’offrent aux professionnels. On peut citer :

• Le stockage en magasin ;
• Le conteneur de stockage ;
• Le stockage en entrepôt.

Le stockage en magasin

C’est le moyen de stockage le plus courant. Une entreprise de production ou de transformation doit disposer d’un magasin au sein duquel elle stockera ou déstockera de façon régulière les marchandises. Pour assurer la sécurité et le bon conditionnement des marchandises, elle peut opter pour des solutions telles que des palettes de stockage, des bacs de stockage ou encore des racks de stockage.

Le stockage en conteneur

L’entreprise peut décider de stocker des marchandises non périssables selon un ordre donné dans des conteneurs. Cette méthode est très simple, car elle permet aux entreprises d’avoir en temps réel une idée de l’évolution des stocks. Cependant, il convient de notifier que ce moyen de stockage n’est pratique que pour les petites unités de production.

Le stockage en entrepôt

L’entrepôt est une plateforme logistique recommandée pour les entreprises désireuses de stocker de manière temporaire des marchandises en attente de convoyage. Il est très pratique notamment pour stocker des matières premières avant leurs transferts vers l’usine. Lorsqu’un établissement compte recourir à ce type de stockage, il fait appel aux services d’une entreprise spécialisée en logistique.

Le transport des marchandises

L’autre point sensible de la gestion des marchandises est le transport. Le transport peut se faire de deux manières distinctes :

• Le transport par l’entreprise elle-même ;
• Le transport par un prestataire.

Si l’entreprise dispose du matériel roulant et des ressources nécessaires en fonction du secteur d’activité, elle peut décider d’assurer elle-même le convoyage de ses marchandises.
Entre autres ressources nécessaires, on peut citer :

• Les véhicules poids lourds de chargement ;
• Les camions frigorifiques ;
• Les grues élévatrices ;
• Le personnel pour conduire les véhicules.

L’avantage ici est que la société a la main mise sur les déplacements. Elle n’a donc pas à se plier à l’emploi du temps d’une entreprise prestataire.

Lorsque c’est inévitable, il sera nécessaire de faire appel aux services d’une entreprise spécialisée en transports industriels pour une prise en charge personnalisée. Il peut être très pratique de s’attacher les services de telles entreprises surtout quand les marchandises à convoyer nécessitent des précautions particulières.

En conclusion, retenez que la gestion des marchandises en entreprise est une opération très délicate qui nécessite des mesures logistiques particulières. Elle peut de ce fait nécessiter quelques fois l’intervention d’entreprises extérieures qui sont spécialisées en logistique.

Source : https://www.dynamic-business.fr/solutions-logistiques-pour-la-gestion-des-marchandises-en-entreprise/

La pandémie de Covid-19 a provoqué une situation sans précédent dans le monde entier. Elle a affecté et affecte encore de manière considérable la vie et les habitudes de millions de personnes. Et ce, tout en exerçant des tensions extrêmes sur les systèmes socio-économiques. Elle a bouleversé de nombreux secteurs d’activité, notamment le transport maritime international. Le point positif ? Elle a contribué à réduire significativement les émissions mondiales de gaz à effet de serre. Détails.

Impacts de la crise sanitaire sur le transport de fret par voie maritime

L’histoire a montré que tous les moyens de transport, les navires notamment, ont favorisé l’expansion des pandémies. En 1720 par exemple, le navire « Grand Saint-Antoine » en provenance de la Syrie a apporté l’épidémie de peste dans la ville de Marseille qui comptabilisa alors près de 40 000 décès.

Suite à ces expériences malheureuses, la plupart des gouvernements du monde entier ont pris les dispositions nécessaires afin d’endiguer la propagation du coronavirus et atténuer son impact. Ils ont ainsi restreint les déplacements – en dehors et sur leurs territoires – et fermé leurs frontières. Si les déplacements routiers ont été limités au strict essentiel, de nombreux ports et aéroports ont été mis à l’arrêt.

Service essentiel et vital pour l’entretien des chaînes d’approvisionnement, le transport maritime international a été particulièrement touché par ces mesures de confinement. En effet, selon les statistiques, ce secteur a subi ces derniers mois la plus grosse baisse de trafic jamais enregistrée.

En temps normal, plus de 80 % du flux de matières premières et de marchandises à destination des 4 coins de la planète sont convoyés par des navires commerciaux de compagnies spécialisées telles que M2R, mobilisant environ 2 millions de personnes.

Mais au mois de mars, de nombreux départs de navires ont été annulés dans les ports de la Chine, qui, pour rappel, est le point de départ de la pandémie. Et le taux de remplissage de ceux qui ont pu appareiller n’était que de 30 % maximum, ce qui a provoqué la rupture des chaînes d’approvisionnement dans de nombreuses entreprises. En outre, de nombreux navires ont été cooptés pour stocker en mer les réserves excédentaires de pétrole, tant sa demande a chuté.

Source : https://www.dynamic-business.fr/covid-19-et-transport-maritime/